Raymonda
Raymonda -- dont la création eut lieu au Théâtre Maryinski, en 1898 -- déroule ses trois actes dans un Moyen-Age de convention, avec héros partant pour la croisade: Raymonda, c'est une jeune damoiselle de noblesse provencale qui attend le retour de son fiancé, le chevalier Jean de Brienne, qui vient d'une croisade du Pays Sacré. Elle pense avec impatience à son amoureux, cependant les «cours d'amours» et ses troubadours s'amusent bien dans le chateâu de la famille de Raymonda.
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Mais à la place de son fiancé, le sarrasin maure Abderahman apparaît d'abord seulement dans une rêve de Raymonda -- et plutard en réalité -- et essaie de la conquérir, même par la force. Grâce à la Dame Blanche, une fantôme bienfaisant qui protège la maison de Raymonda et qui apparaît pour prévenir du danger, Jean de Brienne arrive à intervenir juste à temps. Le drame se termine dans une bataille dramatique entre Jean de Brienne et Abderahman. A la fin, on fête le mariage de Raymonda et Jean de Brienne.
A tort, «Raymonda» est très inconnue, quoique elle soit un chef-d'oevre du chorégraphe Marius Petipa et du jeune compositeur russe Alexandre Glazunov. La ballet «Raymonda» offre une mosaique imposante harmonieuse de musique si romantique et riche en couleur de sons. C'est la base idéale d'une grande soirée de danse classique.
Le 19 décembre 2002 à 20 heures, à la «Haus der Begegnung», le Ballet de l'Université d'Ulm donnera une représantation de plusieurs scènes de «Raymonda» (avec une lecture de l'histoire) et d'autres oevres de danses classiques et modernes de la saison 2002: Un truc joyeux, tangos-Klezmer, des variations de «Le Lac» etc. Entrée libre.